Les Chroniques de Namur

une satire sociale qui brûle et charme à la fois.

Les Chroniques de Namur est une satire sociale dénonçant l’intolérance et l’exclusion.
Le récit débute en juillet 2014, date de l’arrêté communal interdisant toute forme de mendicité dans le centre-ville. Cet arrêté communal a été annulé en janvier 2018 mais il reste en vigueur sous la forme d’un règlement de police. Aujourd’hui encore, 305 communes sur les 581 que compte la Belgique, possèdent un règlement « anti-mendicité ». Parmi elles, 253 communes appliquent des mesures contraires à l’article 8 de la Convention européenne des droits humains.

C’est avec humour et dérision que j’ai choisi d’aborder ce sujet. Mendiant.es, chômeur.ses et précaires deviennent les véritables héros et héroïnes de la société . Ils et elles incarnent à la fois la débrouillardise, la solidarité et la rage de vivre. Comme dans un grand carnaval où les valeurs sont inversés, ils et elles vont semer le trouble jusqu’à la farce transformant le quotidien de tous les habitants en une véritable comédie.
Ce projet est soutenu par une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Bourse BD découverte).

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“Les Chroniques de Namur” est une satire sociale qui brûle et charme à la fois. Le récit se déroule dans la ville où sont nés les deux artistes les plus sulfureux de Wallonie : Félicien Rops et Benoît Poelvoorde. Y a-t-il vraiment une relation ?

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